Archive | décembre 2019

5 bonnes raisons de pratiquer la marche nordique

Plus dynamique qu’une randonnée, la marche nordique est une excellente activité sportive, qui travaille à la fois la souplesse, la musculature et l’endurance.

Marcher au quotidien est important pour réduire ses risques de développer un cancer, un diabète, un accident vasculaire cérébrale, diminuer son stress et améliorer la qualité de son sommeil. La marche demande au cœur un travail complémentaire proportionnel à la vitesse, qui facilite le retour veineux tout en lui demandant un effort modéré. La marche active la circulation, réduit l’apparition de varices, tonifie les muscles des jambes, réduit les risques d’hypertension…

La marche à pied est une activité physique douce qui fait travailler à la fois le haut et le bas du corps : sangle abdominale, cuisses et mollets, fléchisseurs et extenseurs des orteils… sans oublier les bras si l’on ajoute un mouvement de balancier. Sans accessoire, la marche mobilise presque la moitié de notre masse musculaire globale : une belle performance ! Si l’on ajoute la résistance des bâtons nordiques, les pectoraux, bras et dos sont également sollicités, pour mobiliser presque 80% de la masse musculaire totale. 

Grâce à cette importante sollicitation musculaire, la marche nordique représente une dépense énergétique importante, jusqu’à 40% de plus que la marche traditionnelle. Activité d’endurance, elle facilite ainsi l’élimination des graisses stockées dans l’organisme.

Des chercheurs américains travaillant sur la cicatrisation osseuse et l’ostéoporose ont démontré au début des années 2000 que de faibles vibrations au niveau de la cuisse arrière de moutons, pendant 20 minutes par jour et 5 jours par semaine, développaient et renforçaient leur masse osseuse. Des résultats qui plaident en faveur de la marche : les pas et l’appui des bâtons provoquent des vibrations modérées, bénéfiques pour la santé de nos os sans agresser les articulations.   

 

La marche permet de diminuer la fatigue et d’augmenter l’énergie des personnes qui la pratiquent.

Garder de meilleures facultés sur le plan cérébral.

Réduire le risque de maladies du cœur.

Faire baisser la tension artérielle.

Diminuer le taux de cholestérol.

Limiter le risque de diabète.

Limiter le risque de cancer.

Perdre du poids.

Augmenter la densité osseuse en freinant l’ostéoporose.

Soulager les maux de dos et d’articulations.

Améliorer l’état de santé général et la longévité.

Améliorer les fonctions cardiorespiratoires.

Diminuer les risques de fractures dues à des chutes.

Réduire la dépression et l’anxiété

Une alimentation équilibrée permettrait aux cellules nerveuses de mieux communiquer avec le cerveau et donc d’interagir sur certaines maladies neurologiques, comme l’épilepsie, selon une nouvelle étude canadienne.

La nourriture serait capable de modifier le fonctionnement du cerveau. Aussi il a toujours été recommandé aux épileptiques de suivre un régime alimentaire particulier, le régime cétogène pauvre en glucides (sucres) et riches en lipides (matières grasses) pour éviter les crises et les  convulsions.

L’équipe de chercheurs dirigée par le neurologue Derek Bowie s’est interrogée sur ce phénomène. Ils ont analysé le métabolisme des neurones et la transmission des informations nerveuses et ont découvert un lien entre le métabolisme des cellules nerveuses et leur capacité à transmettre les informations qui expliquerait comment une bonne alimentation contrôlerait l’activité cérébrale.

Les médicaments entraînent souvent de nombreux effets secondaires et ne sont pas toujours efficaces, explique Derek Bowie, directeur de l’étude. J’espère que le régime cétogène sera réhabilité et deviendra de plus en plus populaire.

Nous tirons notre énergie de notre nourriture et principalement de trois catégories d’aliments :

  • les glucides : amidons (pomme de terre, riz, blé et autres céréales), sucre, fruits et légumes ;
  • les graisses (ou lipides) : huiles, beurre, margarine, crème fraîche, noix ;
  • les protéines : viande, volaille, poisson, œuf, laitages.
  • POUR TOI :
  • La diète cétogène comporte très peu de glucides. Elle est constituée presque exclusivement de graisses et de protéines (à la dose de 1 g par kg de poids corporel), l’objectif étant non plus de tirer notre énergie du glucose mais des graisses via les corps cétoniques. Dans la diète cétogène, l’alimentation doit compter environ 90 % de lipides, 8 % de protéines et 2 % de glucides.

 

 

 

 

En yoga, on apprend que l’expiration est le souffle le plus important et que l’inspire doit suivre naturellement, comme un léger rebond. Or j’ai l’impression qu’on fait l’inverse, en prenant d’abord de grandes inspirations… D.Kieffer

Avec l’âge, la respiration passe de ventrale à thoracique, ce qui n’a pas seulement des conséquences sur le stress. Cela entraîne, dites-vous, l’enfermement dans un « Moi, je » qui lutte, une polarisation mentale fondée sur l’ego.

Tous les enfants ont une ­respiration ventrale. On l’observe aussi chez les grands mammifères au repos. On l’associe au calme, à la sérénité et au système parasympathique, la branche du système nerveux impliquée dans le sommeil et la récupération. À l’inverse, quand on respire haut, on passe sur le mode de la fuite ou de la défense. Quand on court, la ­respiration se déplace dans la zone pulmonaire pour amplifier ­l’apport d’oxygène. Le stress fait pareil. Une personne en situation de contrainte va spontanément ­respirer plus haut, voire faire des apnées. Pour des raisons culturelles, le ventre c’est le monde de l’impur, de l’enfance, de l’interdit. L’individu n’habite plus son ventre, il respire dans sa poitrine, vit dans ses émotions et dans sa représentativité sociale. C’est la victoire toute puissante de l’ego.

 

La liberté ne se conçoit que par l’ignorance de ce qui nous fait agir. Henri Laborit

La sensation fallacieuse de liberté s’explique du fait  que ce qui conditionne notre action est généralement du domaine de l’inconscient, et que par contre le discours logique est, lui, du domaine du conscient. C’est ce discours qui nous permet de croire au libre choix. Mais comment ce choix pourrait être libre alors que nous sommes inconscients des motifs de notre choix. Henri Laborit