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Nos pensées ont une influence sur ce que nous sommes, sur notre santé et sur notre environnement. On en a la preuve scientifique. Pauline Bijster

Guérir par ses propres pensées; Guéri par le pouvoir de la pensée d’un… autre

L’univers médical connaît lui aussi toute l’importance de la pensée. Prenons l’effet Placebo : un malade se porte mieux après avoir pris un médicament factice. Dans son ouvrage « C’est la pensée qui compte », le biochimiste David Hamilton décrit les preuves scientifiques de l’effet placebo. La plupart des chercheurs sont d’accord pour dire que le placebo fonctionne en raison de deux facteurs : le désir de la personne de guérir et la conviction qu’elle va guérir.

McTaggart croit que non seulement nous pouvons nous aider nous-mêmes à guérir mais que nous pouvons également aider les autres sur le plan énergétique. Ainsi, nous serions en mesure d’influencer les cellules d’un autre alors même qu’elles se seraient complètement « perdues ».

Il reste encore beaucoup à découvrir sur les pouvoirs de la pensée. En théorie, il devrait être possible de rendre le monde meilleur ou de le sauver par la seule force de la pensée. Mais la science n’a pas encore atteint un stade aussi avancé.

Pauline Bijster

Le pouvoir de la pensée, c’est une question d’énergie. Pauline Bijster

La mécanique quantique est la branche de la physique qui a pour objet l’étude des plus petites particules et de leurs liens : l’énergie et l’interaction des atomes entre eux. Contrairement à la physique classique, la mécanique quantique – en tout cas la branche appelée l’interprétation de Copenhague – suppose que, du simple fait de son regard, l’observateur exerce une influence sur l’objet de son attention.

Niels Bohr et Werner Heisenberg, les chercheurs qui ont formulé l’interprétation de Copenhague vers 1927, ont découvert que les particules quantiques peuvent être considérées comme des « petits paquets » d’énergie vibratoire qui échangent constamment de l’énergie entre eux. De manière très simplifiée, ils ont conclu que rien dans l’univers n’existe comme une chose concrète, mais que tout est mouvement et réponse à l’énergie de « l’autre », même deux blocs de béton.

Ils ont également conclu que les choses ne sont pas indépendantes de la façon dont nous les percevons et que, dès lors, notre perception peut influencer la réalité.

Une plante ressent ce que vous pensez

McTaggart rappelle notamment les expériences menées dans les années 60 par le scientifique Cleve Backster qui s’intéressait à la question de savoir si les plantes pouvaient penser ou émettre des signaux. A l’époque, Backster faisait autorité dans le domaine de la polygraphie (détection du mensonge). Un jour, il eut l’idée d’attacher un ficus à un polygraphe avant de l’arroser. Il enregistra effectivement une infime réaction mais peu significative. Il imagina alors de « menacer » la plante pour en obtenir une « réponse ». L’idée était de la brûler et d’observer une éventuelle réaction sur le polygraphe. Alors même qu’il n’était pas encore passé à l’acte, l’aiguille de l’appareil s’est affolée, de la même manière qu’elle s’affole quand le stress pousse un homme à mentir. Il en a conclu que la plante avait « lu » sa pensée et « réagi » à son intention hostile.

Pauline Bijster

Pour garder la santé, riez ! Alexandra Edip

Rire n’offre que des bienfaits au corps, que ce soit concernant notre santé cardiaque, musculaire ou psychologique.

Un antidouleur

On ne commence à s’intéresser aux vertus du rire sur la santé, qu’à partir du XXᵉ siècle. Le premier à se pencher dessus est le journaliste américain, Norman Cousins, qui le premier entame une thérapie par le rire, comme le rappelle France Inter. Ce dernier souffrait d’une spondylarthrite ankylosante particulièrement grave, une maladie rhumatismale qui atteint surtout la colonne vertébrale et le bas du dos. Au bout de trois semaines, il ne souffrait plus, grâce aux endorphines, antidouleurs naturels, engrangés par le rire.

Renforce le système immunitaire

Comme il stimule le système immunitaire et accroît les défenses de l’organisme en augmentant le taux d’anticorps présents, rire permet donc de lutter contre les maladies des voies ORL, les maladies cardiovasculaires, les maladies chroniques ou les maladies psychologiques comme la dépression. 

Bon pour le cœur

Rire ralentit le cœur, en provoquant un relâchement des vaisseaux et une détente musculaire, qui permet de réduire l’état de stress. Ainsi, on évite les maladies ou les accidents cardiaques graves, qui peuvent être mortels.

Améliore les relations sexuelles

Déjà, rire vous rend plus séduisant. De plus, le relâchement musculaire qu’il provoque favorise la jouissance sexuelle.

Oublier la peur

En riant, vous aurez moins peur et cela vous permettra également de dédramatiser certaines situations. Si vous êtes dans une position stressante ou inconfortable, une petite blague détendra l’atmosphère. En effet, rire tout en ayant peur est incompatible.

Une activité sportive

Rire est un exercice musculaire très complet. Il suppose une vraie gymnastique du corps, même si on n’en a pas conscience. D’après le neurologue, Henri Rubinstein, spécialiste du rire et de l’exploration fonctionnelle du système nerveux, « le rire ça s’exerce« et on peut apprendre à le déclencher de différentes manières, notamment par « le yoga du rire ».

Alexandra Edip

Faut-il vraiment boire du jus de fruit le matin ? Alexandra Edip.

Il est très sucré

Un verre de jus d’orange contient 8 g à 9 g de sucre pour 100 ml, un soda en contient 10 g. Le jus d’orange est donc extrêmement sucré. C’est pourquoi, en boire la matin, à jeun, provoque des pics d’insuline. C’est ce qui va augmenter les pics de fatigue et de faim dans la journée. Alors que si vous consommez une dose plus basse de sucre, votre taux de glucose dans le sang sera constant. Surtout qu’à jeun, le corps absorbe ce que l’on mange plus facilement. Même pressé, le jus de fruit contient moins de vitamines et de fibres qu’un fruit frais entier.

Comment le remplacer ?

Le café et le thé le remplacent très bien. Pour une alternative plus saine au café, pensez à la chicorée, d’origine naturelle et végétale. Et si vous ne pouvez pas vous passer d’une boisson fraîche, préférez une eau citronnée ou un grand verre d’eau pour bien réhydrater votre corps après le sommeil. Sinon, faîtes vous une salade de fruits frais !

Il ne coupe pas la faim

Un verre de fruits pressé ne coupera pas la faim. Pour calmer cette sensation et pour que le cerveau ait l’impression d’être rassasié, il faut mastiquer. On oublie donc le fait de de boire du jus en croquant dans un vrai fruit !

Il augmente les risques de maladies cardiovasculaires

Ces boissons sucrées seraient responsables de 180.000 décès aux États-Unis, d’après une étude publiée en 2014 par la Harvard School of Public Health. Une autre étude australienne démontre quant à elle que les jus de fruits, tout comme les sodas, pression artérielle et pourrait augmenter les risques de maladies cardiovasculaires.

Quand faut-il en boire ?

Si vous voulez boire du jus de fruit, buvez en plutôt en journée, entre 16 heures et 18 heures. C’est le moment de la journée où le corps produit un pic d’insuline naturellement. C’est pour cela qu’au goûter, nous sommes nombreux à faire une pause sucrée. Si vous le pouvez, préparez votre jus maison.

Bien vieillir, c’est tout un art. Alexandra Edip

Être malheureux ou éprouver de la solitude accélère le processus de vieillissement, bien plus que le tabagisme, selon une nouvelle étude. Une mauvaise santé mentale, endommage l’horloge biologique du corps, ce qui augmente aussi le risque de maladies.

C’est la première étude de cette ampleur sur ce que les chercheurs appellent « l’horloge du vieillissement ». Un titre qui fait le lien entre vieillissement biologique et psychologique. Les dommages moléculaires causés par une santé mentale s’accumulent et contribuent au développement de fragilités et de maladies graves. Mais la bonne nouvelle, c’est que ce vieillissement peut-être facilement détecté, avant que cela n’entraîne des conséquences plus graves.

C’est ce qui pourrait permettre de créer des thérapies anti-âge individualisées à grande échelle. Cependant, ces dernières devront se concentrer « sur la santé mentale autant que sur la santé physique », concluent les chercheurs.

On peut ressentir ce que ressent l’autre. Pauline Bijster

Autre éminent scientifique, John Bastyr a réalisé plusieurs expériences avec des personnes pratiquant régulièrement la méditation. Les scientifiques aiment travailler avec des personnes qui connaissent bien la méditation. Les résultats sont plus explicites qu’avec des personnes qui n’ont jamais médité car elles sont capables de concentrer facilement leurs pensées sur une seule chose.

Bastyr a démontré que les ondes cérébrales de la personne « émettrice » peuvent être captées par celles de la personne à laquelle elles sont destinées. Et même simultanément, comme si le « récepteur » percevait la même image que « l’émetteur » alors qu’il ne la voit pas réellement.

Ce que Bastyr a démontré, nous le savons déjà intuitivement. Ne vous arrive-t-il pas fréquemment de connaître l’état d’esprit de votre interlocuteur avant même qu’il vous dise ce qui le préoccupe? Ne sentez-vous jamais ce regard d’une personne qui se tient derrière vous ? Combien de fois, vous et votre conjoint, pensez la même chose au même moment ? N’avez-vous jamais remarqué comme l’atmosphère d’une pièce change totalement quand vous avez une pensée aimable à propos de la personne assise en face de vous ?

Pauline Bijster

Une personne empathique, est quelqu’un qui a la capacité de ressentir ce que les autres ressentent. Parfois à un tel point qu’il peut effectivement devenir difficile pour lui, de discerner les émotions des autres personnes de ses propres émotions. Les empathiques peuvent également absorber les émotions et l’énergie des autres, quoique inconsciemment. Ils peuvent ainsi avoir l’impression d’avoir un cœur constamment ouvert, comme une éponge absorbant toutes les émotions et énergies présentent et ainsi, apporter du bien-être aux autres sans même avoir l’intention de le faire.

Fabrice Renault

Guéri par le pouvoir de la pensée d’un… autre. Pauline Bijste

On a utilisé d’autres moyens pour explorer le pouvoir de la pensée sur la guérison. Il ne s’agit pas ici de la pensée des malades eux-mêmes mais de celle de tierces personnes. Dans les années 80, on a réalisé plusieurs expériences sur l’effet de la prière. 393 patients hospitalisés dans le service de cardiologie d’un hôpital de San Francisco ont tous reçu un traitement identique mais un groupe de croyants a prié pour la moitié d’entre eux. Le groupe qui a bénéficié des prières a eu significativement moins besoin d’assistance respiratoire et d’antibiotiques.

McTaggart croit que non seulement nous pouvons nous aider nous-mêmes à guérir mais que nous pouvons également aider les autres sur le plan énergétique. Ainsi, nous serions en mesure d’influencer les cellules d’un autre alors même qu’elles se seraient complètement « perdues ». Cette affirmation repose sur une expérience faite en laboratoire sur des cellules cancéreuses. Le chercheur Glen Rein a invité le guérisseur Leonard Laskow à projeter différentes pensées sur des cellules cancéreuses. Les cellules ont à peine réagi à certaines pensées mais quand Laskow leur a « demandé » de revenir à leur ordre naturel et de normaliser leur rythme de croissance, ce rythme a baissé de 39%.

Pauline Bijste

Guérir par ses propres pensées de Pauline Bijster – Les croyances, mais aussi les émotions positives, peuvent avoir un pouvoir de guérison de Dr David Halminton

L’univers médical connaît lui aussi toute l’importance de la pensée. Prenons l’effet Placebo : un malade se porte mieux après avoir pris un médicament factice. Dans son ouvrage « C’est la pensée qui compte », le biochimiste David Hamilton décrit les preuves scientifiques de l’effet placebo. La plupart des chercheurs sont d’accord pour dire que le placebo fonctionne en raison de deux facteurs : le désir de la personne de guérir et la conviction qu’elle va guérir.

Un placebo fonctionne si vous êtes convaincu de guérir. De fait, vous vous aidez à guérir.

Hamilton ajoute un troisième facteur : la grande confiance du patient dans la situation. Et sur ce point, il semble avoir raison. Un placebo est administré à deux groupes de patients atteints de la maladie de Parkinson. On dit au premier groupe que l’injection coûte 100 dollars et au second qu’elle coûte 1.500 dollars. Suite à l’injection, les médecins procèdent à des tests de motricité et à des mesures de l’activité cérébrale. Dans les deux groupes, on enregistre des progrès sur le plan de la motricité mais les progrès réalisés par les patients ayant reçu le médicament « coûteux » sont beaucoup plus spectaculaires. Apparemment, ces patients ont d’autant plus confiance dans la médecine qu’elle est chère.

Pauline Bijster

C’est en étudiant l’effet placebo, qui m’a permis de mieux appréhender la connexion entre le corps et l’esprit. J’étais fasciné par le nombre de personnes qui allaient mieux après avoir pris un placebo dans le cadre d’une étude clinique. Mes collègues avaient tendance à nier cet aspect, en décrétant qu’il ne s’agissait « que de l’effet placebo ». Ils disaient des choses comme « Leur état ne s’est pas amélioré. Ils pensent qu’il s’est amélioré. » Mais leurs suppositions étaient fausses.

Des études récentes ont démontré que dans certaines maladies, la biochimie de la personne prenant un placebo se modifie d’une manière qui reflète le médicament qu’elle croit avoir absorbé. Son état de santé s’améliore car sa croyance a modifié sa propre biochimie. Par exemple, quand une personne utilise un placebo pour soulager sa douleur, mais pense qu’il s’agit d’un véritable analgésique, son cerveau produit ses propres substances antidouleurs (on les appelle les opiacés endogènes, les versions cérébrales de la morphine). D’après une autre étude, lorsqu’un patient atteint de la maladie de Parkinson reçoit la piqûre d’un placebo en imaginant qu’il s’agit du médicament, son cerveau produit de la dopamine, car il croit que la piqûre contient un remède contre la maladie.

Mais je me suis aussi intéressé aux effets de la visualisation et de la méditation sur le cerveau et le corps humain. Quand j’ai eu suffisamment d’informations et mieux compris comment les croyances, mais aussi les émotions positives, pouvaient avoir un pouvoir de guérison, j’ai démissionné.

Dr David Hamilton