archive | COMMENT GERER SES EMOTIONS RSS pour cette section

Tout part d’une pensée, qui crée une émotion, qui se manifeste dans le corps physique ou par un comportement. Réal Choinière

La psycho-kinésiologie est une méthode, un enseignement de vie…. elle m’apporte des connaissances et développe le regard du coeur.

Ce sont des chiropracteurs américains qui ont découvert le lien existant entre le stress, le tonus musculaire et les méridiens d’acupuncture au début des années 1980 et ont développé la kinésiologie en s’appuyant sur les principes de la médecine chinoise et les techniques occidentales modernes.

Je ne peux pas changer les autres, mais je peux me transformer pour me sentir bien avec moi-même et avec les autres.

A quoi ça sert ?

  • L’équilibre énergétique où elle favorise le rétablissement de la circulation énergétique du corps en libérant les blocages
  • Gestion du stress et des émotions (examens, concours, entretien d’embauche, présentation en public…) tant présents que passés où elle permet de retrouver le goût et l’entrain nécessaire pour nos activités sociales, familiales ou professionnelles
  • Amélioration des apprentissages moteurs et cognitifs, et d’une façon générale, la plupart des difficultés scolaires où elle améliore la communication entre les Hémisphères Cérébraux (cerveau droit et gauche) et la coordination entre le mental et le corps pour faciliter toutes nos activités
  • Amélioration des capacités relationnelles et de la communication
  • Changements des contextes de vie : divorce, chômage, déménagement, deuils….et d’une façon générale, pour apprendre à mieux négocier avec la réalité, et/ou apprendre à mieux se connaître
  • Amélioration des performances physiques et sportives
  • Diminution des maux du corps.

On ne doit pas guérir le corps sans chercher à guérir l’âme. Platon

« Tous maux physiques ou difficultés de comportement sont d’origine émotionnelle ». C’est la conviction de Réal Choinière, initiateur de la psycho-kinésiologie.

La psycho-kinésiologie me permet de prendre conscience de mes émotions pour les comprendre et en prendre soin, d’apaiser les blessures du passé pour vivre pleinement le moment présent et me projeter avec confiance dans l’avenir.

Chaque difficulté vient me bousculer dans mon monde intérieur, réveiller des émotions et me tourmenter mentalement. Ce stress se manifeste ensuite dans mon corps.

J’ai besoin de comprendre pourquoi, je cherche des solutions à l’extérieur pour régler le problème. Mais lorsque je tourne en rond dans des répétitions ou que la difficulté dure dans le temps, très vite l’énervement, la peur et l’impuissance s’installent.

Les émotions et le corps sont liés…Ecoutez votre corps ! Réal Choinière

L’auto-guérison par les émotions

La psycho-kinésiologie est une méthode d’auto-guérison, basée sur la relation entre le corps et les émotions. L’apprentissage et/ou le don de l’amour et de la tendresse pour soi-même avant tout sont au cœur de cette façon de se sentir mieux.
« Tous maux physiques ou difficultés de comportement sont d’origine émotionnelle » (Réal Choinière).

La psycho-kinésiologie a été développée par le Québécois Réal Choinière (1932-2015).

« Votre corps enregistre tout, sait tout, et ne ment jamais ». C’est la mémoire cellulaire qui retient tout ce que vous dites, tout ce que vous faites, tout ce que vous pensez, tout ce que vous ressentez. Nous pouvons accéder à cette mémoire, grâce à votre corps : par le test musculaire, utilisé en kinésiologie consiste à évaluer le tonus d’un muscle en lui opposant une pression légère à la contraction tout en testant un éventuel facteur de stress .

C’est là que sont cachées les origines profondes de ce qui vous empêche d’avancer pleinement dans votre vie.

Réal Choinière

Nos pensées ont une influence sur ce que nous sommes, sur notre santé et sur notre environnement. On en a la preuve scientifique. Pauline Bijster

Guérir par ses propres pensées; Guéri par le pouvoir de la pensée d’un… autre

L’univers médical connaît lui aussi toute l’importance de la pensée. Prenons l’effet Placebo : un malade se porte mieux après avoir pris un médicament factice. Dans son ouvrage « C’est la pensée qui compte », le biochimiste David Hamilton décrit les preuves scientifiques de l’effet placebo. La plupart des chercheurs sont d’accord pour dire que le placebo fonctionne en raison de deux facteurs : le désir de la personne de guérir et la conviction qu’elle va guérir.

McTaggart croit que non seulement nous pouvons nous aider nous-mêmes à guérir mais que nous pouvons également aider les autres sur le plan énergétique. Ainsi, nous serions en mesure d’influencer les cellules d’un autre alors même qu’elles se seraient complètement « perdues ».

Il reste encore beaucoup à découvrir sur les pouvoirs de la pensée. En théorie, il devrait être possible de rendre le monde meilleur ou de le sauver par la seule force de la pensée. Mais la science n’a pas encore atteint un stade aussi avancé.

Pauline Bijster

Le pouvoir de la pensée, c’est une question d’énergie. Pauline Bijster

La mécanique quantique est la branche de la physique qui a pour objet l’étude des plus petites particules et de leurs liens : l’énergie et l’interaction des atomes entre eux. Contrairement à la physique classique, la mécanique quantique – en tout cas la branche appelée l’interprétation de Copenhague – suppose que, du simple fait de son regard, l’observateur exerce une influence sur l’objet de son attention.

Niels Bohr et Werner Heisenberg, les chercheurs qui ont formulé l’interprétation de Copenhague vers 1927, ont découvert que les particules quantiques peuvent être considérées comme des « petits paquets » d’énergie vibratoire qui échangent constamment de l’énergie entre eux. De manière très simplifiée, ils ont conclu que rien dans l’univers n’existe comme une chose concrète, mais que tout est mouvement et réponse à l’énergie de « l’autre », même deux blocs de béton.

Ils ont également conclu que les choses ne sont pas indépendantes de la façon dont nous les percevons et que, dès lors, notre perception peut influencer la réalité.

Une plante ressent ce que vous pensez

McTaggart rappelle notamment les expériences menées dans les années 60 par le scientifique Cleve Backster qui s’intéressait à la question de savoir si les plantes pouvaient penser ou émettre des signaux. A l’époque, Backster faisait autorité dans le domaine de la polygraphie (détection du mensonge). Un jour, il eut l’idée d’attacher un ficus à un polygraphe avant de l’arroser. Il enregistra effectivement une infime réaction mais peu significative. Il imagina alors de « menacer » la plante pour en obtenir une « réponse ». L’idée était de la brûler et d’observer une éventuelle réaction sur le polygraphe. Alors même qu’il n’était pas encore passé à l’acte, l’aiguille de l’appareil s’est affolée, de la même manière qu’elle s’affole quand le stress pousse un homme à mentir. Il en a conclu que la plante avait « lu » sa pensée et « réagi » à son intention hostile.

Pauline Bijster

Dr David Hamilton, quels sont vos conseils pour améliorer notre état de santé général ? 

J’ai plusieurs suggestions à apporter. Pour commencer, faites preuve de bienveillance le plus souvent possible. Pas seulement dans les actions physiques que vous allez accomplir, mais aussi dans votre manière d’appréhender les autres, de leur parler, et d’interagir avec eux (je pense aussi aux animaux). Le stress est la cause, ou l’accélérateur, de nombreuses maladies modernes, tandis que la bienveillance est son contraire physiologique. Celle-ci n’est pas seulement l’attitude la plus juste, elle est également la plus saine, car elle neutralise le stress.

Deuxièmement, j’aimerais conseiller aux gens de cultiver une attitude positive. Les études ont démontré que cela nous rendait plus heureux et plus résistant à la dépression, tout en renforçant notre système cardiovasculaire. Et si nous adoptons une autre attitude vis-à-vis de la vieillesse, c’est-à-dire, si nous regardons le fait de vieillir comme un processus positif au lieu de nous focaliser sur les choses que nous ne pouvons plus faire, nous vivons plus longtemps. Une étude menée sur 1 000 participants de plus de 65 ans a souligné que les personnes qui faisaient ce choix voyaient leur durée de vie augmenter en moyenne de 7,5 années par rapport aux autres.

Je suggérerais aussi de s’exercer à la gratitude. Des chercheurs ont demandé à des personnes de noter chaque jour entre 5 et 10 choses pour lesquelles elles étaient reconnaissantes et ils ont découvert que cela les rendait plus heureuses.

Pour garder un esprit apaisé, ce qui est très sain car cela réduit le stress, je préconise une pratique quotidienne de la méditation. Les recherches ont prouvé que cela augmentait l’épaisseur (et donc la performance) de certaines parties clés du cerveau, comme la zone située au-dessus des yeux (surnommée le cortex préfrontal), qui nous aide à nous sentir plus positifs, à nous concentrer, et à mieux contrôler les pensées qui nous traversent l’esprit.

En dehors des éléments que je viens de citer, je recommande aussi d’adopter un régime équilibré. Un très grand nombre d’études récentes ont montré que les aliments complets, et les régimes à base de plantes, étaient excellents pour la santé. Ils renforcent notre système digestif, qui est lié au système immunitaire, et améliorent le microbiome intestinal. Et pour couronner le tout, ce type de régime est également bénéfique pour la planète !

Dr David Hamilton

Imaginer un monde meilleur, c’est affirmer que rien n’est plus important que de manifester sa considération pour l’autre. Axel Kahn

A ce jour, Lynne McTaggart a déjà touché des milliers de personnes dans plus de nonante pays avec son enquête « mind-over-matter » ce qui veut dire l’esprit sur la matière. Son « laboratoire mondial » lui a permis de mettre en évidence que les pensées peuvent conduire à une modification de la matière.

Penser à un monde meilleur

Il reste encore beaucoup à découvrir sur les pouvoirs de la pensée. En théorie, il devrait être possible de rendre le monde meilleur ou de le sauver par la seule force de la pensée. Mais la science n’a pas encore atteint un stade aussi avancé.

Pauline Bijster

Guéri par le pouvoir de la pensée d’un… autre. Pauline Bijste

On a utilisé d’autres moyens pour explorer le pouvoir de la pensée sur la guérison. Il ne s’agit pas ici de la pensée des malades eux-mêmes mais de celle de tierces personnes. Dans les années 80, on a réalisé plusieurs expériences sur l’effet de la prière. 393 patients hospitalisés dans le service de cardiologie d’un hôpital de San Francisco ont tous reçu un traitement identique mais un groupe de croyants a prié pour la moitié d’entre eux. Le groupe qui a bénéficié des prières a eu significativement moins besoin d’assistance respiratoire et d’antibiotiques.

McTaggart croit que non seulement nous pouvons nous aider nous-mêmes à guérir mais que nous pouvons également aider les autres sur le plan énergétique. Ainsi, nous serions en mesure d’influencer les cellules d’un autre alors même qu’elles se seraient complètement « perdues ». Cette affirmation repose sur une expérience faite en laboratoire sur des cellules cancéreuses. Le chercheur Glen Rein a invité le guérisseur Leonard Laskow à projeter différentes pensées sur des cellules cancéreuses. Les cellules ont à peine réagi à certaines pensées mais quand Laskow leur a « demandé » de revenir à leur ordre naturel et de normaliser leur rythme de croissance, ce rythme a baissé de 39%.

Pauline Bijste

Guérir par ses propres pensées de Pauline Bijster – Les croyances, mais aussi les émotions positives, peuvent avoir un pouvoir de guérison de Dr David Halminton

L’univers médical connaît lui aussi toute l’importance de la pensée. Prenons l’effet Placebo : un malade se porte mieux après avoir pris un médicament factice. Dans son ouvrage « C’est la pensée qui compte », le biochimiste David Hamilton décrit les preuves scientifiques de l’effet placebo. La plupart des chercheurs sont d’accord pour dire que le placebo fonctionne en raison de deux facteurs : le désir de la personne de guérir et la conviction qu’elle va guérir.

Un placebo fonctionne si vous êtes convaincu de guérir. De fait, vous vous aidez à guérir.

Hamilton ajoute un troisième facteur : la grande confiance du patient dans la situation. Et sur ce point, il semble avoir raison. Un placebo est administré à deux groupes de patients atteints de la maladie de Parkinson. On dit au premier groupe que l’injection coûte 100 dollars et au second qu’elle coûte 1.500 dollars. Suite à l’injection, les médecins procèdent à des tests de motricité et à des mesures de l’activité cérébrale. Dans les deux groupes, on enregistre des progrès sur le plan de la motricité mais les progrès réalisés par les patients ayant reçu le médicament « coûteux » sont beaucoup plus spectaculaires. Apparemment, ces patients ont d’autant plus confiance dans la médecine qu’elle est chère.

Pauline Bijster

C’est en étudiant l’effet placebo, qui m’a permis de mieux appréhender la connexion entre le corps et l’esprit. J’étais fasciné par le nombre de personnes qui allaient mieux après avoir pris un placebo dans le cadre d’une étude clinique. Mes collègues avaient tendance à nier cet aspect, en décrétant qu’il ne s’agissait « que de l’effet placebo ». Ils disaient des choses comme « Leur état ne s’est pas amélioré. Ils pensent qu’il s’est amélioré. » Mais leurs suppositions étaient fausses.

Des études récentes ont démontré que dans certaines maladies, la biochimie de la personne prenant un placebo se modifie d’une manière qui reflète le médicament qu’elle croit avoir absorbé. Son état de santé s’améliore car sa croyance a modifié sa propre biochimie. Par exemple, quand une personne utilise un placebo pour soulager sa douleur, mais pense qu’il s’agit d’un véritable analgésique, son cerveau produit ses propres substances antidouleurs (on les appelle les opiacés endogènes, les versions cérébrales de la morphine). D’après une autre étude, lorsqu’un patient atteint de la maladie de Parkinson reçoit la piqûre d’un placebo en imaginant qu’il s’agit du médicament, son cerveau produit de la dopamine, car il croit que la piqûre contient un remède contre la maladie.

Mais je me suis aussi intéressé aux effets de la visualisation et de la méditation sur le cerveau et le corps humain. Quand j’ai eu suffisamment d’informations et mieux compris comment les croyances, mais aussi les émotions positives, pouvaient avoir un pouvoir de guérison, j’ai démissionné.

Dr David Hamilton

La science prouve qu’on peut se « muscler » par la pensée ! Antoine Harben

« Je crois qu’il y a une intelligence, une conscience invisible, à l’intérieur de chacun de nous, qui est dispensatrice de vie. Elle nous soutient, nous maintient, nous protège et nous guérit à chaque instant. Elle crée presque 100 milliards de cellules spécialisées, elle veille à ce que nos cœurs battent des centaines de milliers de fois par jour, et elle peut produire chaque seconde des centaines de milliers de réactions chimiques dans une seule cellule. Je me suis dit à l’époque que si cette intelligence était réelle et si elle possédait des capacités aussi étonnantes, je pourrais essayer de me connecter à elle »

Joe Dispenza