Archive | octobre 2022

Pour garder la santé, riez ! Alexandra Edip

Rire n’offre que des bienfaits au corps, que ce soit concernant notre santé cardiaque, musculaire ou psychologique.

Un antidouleur

On ne commence à s’intéresser aux vertus du rire sur la santé, qu’à partir du XXᵉ siècle. Le premier à se pencher dessus est le journaliste américain, Norman Cousins, qui le premier entame une thérapie par le rire, comme le rappelle France Inter. Ce dernier souffrait d’une spondylarthrite ankylosante particulièrement grave, une maladie rhumatismale qui atteint surtout la colonne vertébrale et le bas du dos. Au bout de trois semaines, il ne souffrait plus, grâce aux endorphines, antidouleurs naturels, engrangés par le rire.

Renforce le système immunitaire

Comme il stimule le système immunitaire et accroît les défenses de l’organisme en augmentant le taux d’anticorps présents, rire permet donc de lutter contre les maladies des voies ORL, les maladies cardiovasculaires, les maladies chroniques ou les maladies psychologiques comme la dépression. 

Bon pour le cœur

Rire ralentit le cœur, en provoquant un relâchement des vaisseaux et une détente musculaire, qui permet de réduire l’état de stress. Ainsi, on évite les maladies ou les accidents cardiaques graves, qui peuvent être mortels.

Améliore les relations sexuelles

Déjà, rire vous rend plus séduisant. De plus, le relâchement musculaire qu’il provoque favorise la jouissance sexuelle.

Oublier la peur

En riant, vous aurez moins peur et cela vous permettra également de dédramatiser certaines situations. Si vous êtes dans une position stressante ou inconfortable, une petite blague détendra l’atmosphère. En effet, rire tout en ayant peur est incompatible.

Une activité sportive

Rire est un exercice musculaire très complet. Il suppose une vraie gymnastique du corps, même si on n’en a pas conscience. D’après le neurologue, Henri Rubinstein, spécialiste du rire et de l’exploration fonctionnelle du système nerveux, « le rire ça s’exerce« et on peut apprendre à le déclencher de différentes manières, notamment par « le yoga du rire ».

Alexandra Edip

Pourquoi cherches-tu la guérison à l’extérieur de toi ? Tu as en toi la sagesse qui donne la force de guérir. Antoine Harben

Commencer son Shadow Work : nos conseils 

Le Shadow Work est une plongée en soi qui peut mettre au jour des traumatismes enfouis. Sa pratique nécessite d’être au préalable dans un état d’esprit particulier.

Commençons déjà par introduire celui qui a initié le concept en définissant l’ombre que nous portons : Le travail d’ombre vient du terme « le moi de l’ombre », qui a été inventé par le célèbre psychologue du XXe siècle Carl Jung.

Avec sa théorie du soi visible et du soi caché (la lumière et l’ombre), que l’on peut rapprocher de celle de Freud (Conscient/Inconscient/Subconscient, ou encore le Moi et le Sur-Moi), il a avancé que nous sommes tou·te·s composé·e·s d’une part lumineuse, exposée à la vue de tout le monde, et d’une part d’ombre, une version sombre de nous-mêmes, que nous cachons aux yeux du monde, mais de façon inconsciente.

Car cette ombre représente tout ce que nous repoussons, tout ce que nous refoulons : nos peurs, nos angoisses, nos traumatismes, nos vices, nos réflexes primitifs… C’est notre ombre qui conditionne la majorité de nos réactions à ce qui nous entoure, et ce de manière totalement inconsciente.

Le Shadow Work c’est donc tout simplement le travail sur cette part d’ombre, sur tout ce qu’on a internalisé et mis de côté (le plus souvent involontairement, et même parfois sur plusieurs générations).

Le processus

Il s’agit d’aller explorer, au travers de petits exercices et rituels, certaines parties cachées et enfouies de nous-même afin de les ramener à la lumière, autrement dit à notre conscience ! En cessant d’ignorer nos ombres, nous calmons la bête, en la rassurant d’une caresse bienveillante.

Observer vos réactions

Lancez un regard intelligent sur vous-même, et quelque peu “extérieur” pour commencer.

Certaines situations, personnes, lieux, odeurs vous provoquent-elles des émotions ou même des réactions physiques ? Honte, rancœurs, jalousies, tristesse, la liste peut-être longue !

Pratiquer le “Shadow work” « Voyage en vous-même ». Le terme anglais « Shadow work » signifie en français « travailler sur sa part d’ombre » vous encouragera tout d’abord à identifier ces points de frictions !

Fermez les yeux ! Se sentir bien ! Être bienveillant envers soi !

Votre respiration vous accompagne vers cet état d’auto-hypnose.

Posez-vous la question: sur votre honte, rancoeurs, peurs, jalousie, tristesse etc…. ?

Quelles actions, blessures, paroles, personnes de votre enfance arrivent en premier ?

Méditer et observer la longueur de son souffle, les petits bruits du corps, ses réactions à certaines pensées qui surgissent !

Ces difficultés misent à jour, notez-les dans un journal ou sur un morceau de papier.



Des découvertes scientifiques ont montré que notre cerveau se développe en fonction de l’usage que l’on en fait. André Stern

Et il existe un engrais pour favoriser son développement : l’enthousiasme.

Une « tempête d’enthousiasme » se déclenche dans le cerveau de l’enfant toutes les trois minutes en moyenne. Adulte, cette poussée arrive deux à trois fois… par an.

Qu’est-ce que « l’art de nourrir la vie ».

C’est suivre le rythme des saisons par l’être humain pour rester en harmonie avec les mouvements du ciel et de la terre.

Avoir le flow : État de motivation et d’attention focalisées qui permet de mobiliser au mieux ses facultés et d’atteindre une performance. Mihály Csíkszentmihályi

Avoir le flow, c’est se concentrer tellement à fond dans quelque chose que plus rien d’autre ne compte et que vous perdiez la notion du temps…

L’état de flow est un état de concentration élevé où la personne est totalement absorbée par la tâche qu’elle est en train d’effectuée tout en éprouvant un sentiment de bonheur et d’accomplissement.

L’attention est focalisée sur le moment présent

On a l’impression de fusionner avec l’activité

On perd la conscience de soi parfois même la sensation de douleurs

L’activité en elle-même produit une récompense immédiate

Les erreurs éventuelles peuvent être corrigées tout de suite.

On perd la notion du temps

Réaliser l’activité provoque un sentiment de contrôle et d’accomplissement

Mihály Csíkszentmihályi

Tricot : 5 bienfaits validés par la science. Il ne vous reste plus qu’à vous mettre à vos aiguilles sans attendre …

Non, le tricot n’a rien d’une activité de grand-mère. Alors que les activités manuelles prennent de plus en plus d’ampleur dans notre quotidien (et sur nos comptes Pinterest et Instagram), le tricot ferait des émules. Car en plus de nous occuper, il aurait des bienfaits insoupçonnés. La preuve par 5.  

Tricoter, ça rend heureux

C’est même la science qui le dit ! Selon une étude menée en 2013 par la physiothérapeute britannique Betsan Corkhill, le fait de tricoter rendrait plus heureux. Pourquoi ? Tout simplement parce que le fait d’enchaîner les mailles, avec des mouvements répétitifs, permet de se vider la tête en se concentrant sur quelque chose de précis. La pratique aurait des vertus similaires à celles de la méditation, par exemple. Un sentiment de bonheur et de plénitude qui fait du bien.

Sur 3 545 adeptes de la pratique, 81% ont affirmé se sentir plus heureux après une session tricotage. Et Carrie Barron, professeure en psychiatrie à l’Université de Columbia, semble apporter une explication pour cette dose de bonheur : « le tricot a des bienfaits similaires à la méditation », explique-t-elle.

Le tricot aide à lutter contre le stress

Stressée ? A vos aiguilles ! Ann Futterman-Collier, psychologue en charge du Well Being Lab à l’Université d’Arizona, a ainsi réussi à démontrer les bienfaits de « la thérapie du textile ». En soumettant 60 femmes souffrant de différents niveaux de stress à prendre part à des activités manuelles, la psychologue a ainsi relevé des baisses notables d’anxiété, chez toutes les participantes. 

Le médecin Barry Jacobs exerçant à l’Université de Princeton va plus loin en affirmant que le tricot peut être une solution à la dépression.

Le tricot, c’est bon pour le cerveau 

En soumettant 1 321 seniors aux activités manuelles – dont le tricot – la Mayo Clinic a annoncé que celles-ci réduisaient la perte de mémoire chez les personnes âgées. Mais ce n’est pas tout ! Selon Yonas Geda, professeur en neurologie et psychiatrie, qui a lancé cette étude : « le tricot aurait également un effet positif sur des maladies telles que la démence et Alzheimer ».

Le tricot retarde l’apparition de l’arthrite

Autre désagrément que le tricot retarde ? L’arthrite ! Selon le chirurgien orthopédique Alton Barron, auteur de l’ouvrage « The Creativity Cure : How to Build Happiness with Your Own Two Hands » publié en 2012, il semble que les mouvements de doigts dus au tricot « obligent le fluide à se déplacer tout autour du cartilage, gardant ainsi nos articulations bien hydratées et minimisant par la même occasion le risque d’arthrite ».

Le tricot est un booster d’estime de soi

Dernier véritable bienfait du tricot ? L’estime de soi ! Rien de mieux que de se faire féliciter pour un objet que l’on a fait soi-même. Une étude menée en 2009 au Canada sur 38 femmes souffrant d’anorexie corrobore cette idée. « 74% de ces femmes ont déclaré que le tricot leur permettait de se sentir moins préoccupées par leur poids, mais en plus cette activité leur procurait un sentiment de satisfaction et d’accomplissement ».

La tricothérapie : une solution bien-être et anti-stress !

Tricoter ou crocheter booste l’estime de soi, diminue le stress et l’anxiété et aide à lutter contre les addictions.

Il semblerait que les gestes répétitifs aient pour vertu de rassurer ceux qui les reproduisent de façon récurrente, un peu comme un mantra zen que l’on récite, décrit Pierre Bastoul. De nombreuses études américaines et britanniques le confirment : en focalisant l’attention sur les mains, tricoter boosterait la production de dopamine et de sérotonine, les hormones du bonheur, et diminuerait celle du stress, appelée cortisol. Un bon remède pour ceux qui sont sujets à l’hypertension ou à l’insomnie, déjà démontré par Herbert Benson, professeur de médecine à l’université de Harvard dans son livre The Relaxation Response.

L’autre bénéfice ? En occupant nos mains et notre esprit, il serait plus facile de se libérer d’addictions comme l’alcool, la cigarette ou encore la nourriture, favorisant ainsi la perte de poids. L’université de Chicago a même classé le tricot parmi les 10 meilleurs moyens pour arrêter de fumer ! «Pour tricoter, on est obligé de se concentrer et de lâcher prise sur le reste, sinon, ça ne marche pas», avertit Pierre Bastoul.

  • Passage du corps en mode relaxation
  • Réduction du niveau de stress et de notre taux d’adrénaline
  • Augmentation de notre résistance aux douleurs chroniques
  • Stimulation des défenses immunitaires
  • Baisse du rythme cardiaque et de la pression
  • Réduction des tensions musculaires

La répétition continue du même geste activerait les mêmes zones de notre cerveau que lorsqu’on fait de la méditation ou du yoga. Les effets sont donc apaisants, relaxants et calmants. Une chercheure spécialiste de la douleur, Monica Baird, souligne que tricoter abaisse notre taux de cortisol, la méchante hormone du stress, et stimule la production de sérotonine et de dopamine, les gentilles hormones responsable du bien-être.

Le sentiment d’accomplissement

Un tricot fini, ce sont des milliers de mailles qui nous rendent fier pour ce qu’on a accompli. C’est le moment d’honorer nos talents, après tout, peu de personnes seraient capables de réaliser une telle prouesse!

Faut-il vraiment boire du jus de fruit le matin ? Alexandra Edip.

Il est très sucré

Un verre de jus d’orange contient 8 g à 9 g de sucre pour 100 ml, un soda en contient 10 g. Le jus d’orange est donc extrêmement sucré. C’est pourquoi, en boire la matin, à jeun, provoque des pics d’insuline. C’est ce qui va augmenter les pics de fatigue et de faim dans la journée. Alors que si vous consommez une dose plus basse de sucre, votre taux de glucose dans le sang sera constant. Surtout qu’à jeun, le corps absorbe ce que l’on mange plus facilement. Même pressé, le jus de fruit contient moins de vitamines et de fibres qu’un fruit frais entier.

Comment le remplacer ?

Le café et le thé le remplacent très bien. Pour une alternative plus saine au café, pensez à la chicorée, d’origine naturelle et végétale. Et si vous ne pouvez pas vous passer d’une boisson fraîche, préférez une eau citronnée ou un grand verre d’eau pour bien réhydrater votre corps après le sommeil. Sinon, faîtes vous une salade de fruits frais !

Il ne coupe pas la faim

Un verre de fruits pressé ne coupera pas la faim. Pour calmer cette sensation et pour que le cerveau ait l’impression d’être rassasié, il faut mastiquer. On oublie donc le fait de de boire du jus en croquant dans un vrai fruit !

Il augmente les risques de maladies cardiovasculaires

Ces boissons sucrées seraient responsables de 180.000 décès aux États-Unis, d’après une étude publiée en 2014 par la Harvard School of Public Health. Une autre étude australienne démontre quant à elle que les jus de fruits, tout comme les sodas, pression artérielle et pourrait augmenter les risques de maladies cardiovasculaires.

Quand faut-il en boire ?

Si vous voulez boire du jus de fruit, buvez en plutôt en journée, entre 16 heures et 18 heures. C’est le moment de la journée où le corps produit un pic d’insuline naturellement. C’est pour cela qu’au goûter, nous sommes nombreux à faire une pause sucrée. Si vous le pouvez, préparez votre jus maison.

Le magnésium est l’un des minéraux les plus abondants de l’organisme dont la moitié se situe au niveau des os.

On trouve du magnésium dans de nombreux aliments mais principalement dans le chocolat, véritable mine de magnésium. On le retrouve également dans les céréales complètes, les légumineuses (haricots secs, lentilles…), les légumes verts foncés, les feuilles de navet, le chou vert, les épinards, le chou frisé ou encore, les feuilles de moutarde. Une portion d’épinards contient 157 mg de magnésium, ce qui représente 36mg des apports journaliers recommandés pour ce minéral ! et les fruits secs, les fruits oléagineux comme la noix, La banane est le fruit le plus riche en magnésium, à raison de 35 mg pour 100g. Si elle est consommée séchée, sa teneur en magnésium augmente avec 105 mg pour 100 g.

Le magnésium est l’un des minéraux les plus présents dans le corps. Cet oligoélément participe à tous les grands métabolismes, celui des glucides, des lipides et des protéines, qu’il transforme en énergie.

Le magnésium contribue à réduire la fatigue, il aide au fonctionnement normal du système nerveux, participe à des fonctions psychologiques normales telles que la concentration, le raisonnement ou encore la mémoire.
On retrouve jusqu’à 24 g de magnésium dans le corps, dont environ 65% est stocké au niveau des os qui représentent un réservoir en partie mobilisable en cas de besoin. On retrouve également une certaine quantité de magnésium au niveau des muscles et de certains organes comme le foie, le cœur ou les reins.

Quels sont les signes d’un manque de magnésium ?

Les signes les plus fréquents, nous les connaissons tous à différents moments de l’année : fatigue nerveuse et physique, irritabilité, troubles du sommeil, crampes, tressautement des paupières, sensation d’oppression, perte de mémoire, fourmillements, anxiété, angoisses, douleurs au niveau du dos avec cervicalgie .

Cure de 3 semaines :

Il se présente souvent sous forme de sachets de 20 g, à diluer dans un litre d’eau. Le goût en est désagréable, mais il peut être atténué si on le mélange à de l’eau sucrée ou à du jus de fruits (pas d’agrumes qui sont trop acides). À boire chaque matin au réveil à raison d’un verre : pour qu’il soit plus facile à avaler, pensez à conserver la bouteille au frigo.

1. Il entraîne un mieux-être général, et on le conseille en cas d’état dépressif, mais aussi d’insomnie, de stress, d’anxiété et de nervosité.

2. Il est bon pour la peau, et peut soulager les symptômes en cas d’eczéma, de psoriasis, d’acné rebelle ou de taches de vieillesse.

3. Il peut aider à la guérison des maladies respiratoires, de la grippe, de l’angine, de la bronchite et de l’asthme.

4. Il semblerait qu’il obtienne de bons résultats sur les rhumatismes.

5. Il lutte contre la fatigue en général, facilite la convalescence après une maladie et lutte contre le vieillissement.

6. C’est un régulateur de la thyroïde.

7. Il participe à l’activation des enzymes digestifs et lutte contre la constipation.

8. Sa présence favorise l’action de la vitamine C.

9. Il lutte efficacement contre l’infection des plaies.