Le sport n’est vraiment bénéfique que s’il s’inscrit dans une « une pratique régulière, modérée et diversifiée » qui s’intègre dans une hygiène de vie globale.
Faire du sport sans danger sans risque de ne pas récupérer et d’être épuisé
Certains d’entre vous peuvent avoir tendance à en faire trop, c’est à dire à multiplier les entraînements , les compétitions, avec deux risques potentiels :
– celui de ne pouvoir récupérer suffisamment entre deux séances et donc ne pas avoir eu le temps de reconstituer les réserves énergétiques de l’organisme et en particulier celles en glycogène. Cela signifie que pour l’épisode suivant vous allez débuter avec un déficit préalable .
– celui de se sentir fatigué et d’être plus vulnérable et donc exposé aux blessures mais aussi aux infections.
L’exercice physique peut se montrer aussi redoutable pour les vaisseaux sanguins : à l’effort maximal, les plus petits peuvent se rompre en cas d’anomalie vasculaire ou d’hypertension artérielle méconnues. De même, l’appareil locomoteur peut subir l’accumulation de contraintes mécaniques : c’est la fracture de fatigue, l’usure du cartilage ou l’arthrose (favorisée par une distension ou une rupture ligamentaires). Dr S. Cascua médecin du sport affirme également que « le dos se bloque face au sport » ou encore que « l’intestin digère mal le sport » ; de même, une pratique sportive intense peut perturber les hormones. On prend également conscience aujourd’hui que même le sport ludique, pratiqué simplement pour le plaisir, n’est pas forcément bénéfique à la santé : les risques surviennent surtout lorsque la pratique est trop ponctuelle ou, à l’inverse, trop intensive.
L’excès de sport sera néfaste à la santé tout autant que l’inverse, à savoir une trop grande sédentarité. Il ne faut pas perdre de vue l’essentiel qui reste de se faire plaisir en pratiquant une activité physique régulière et modérée…
On sait aujourd’hui que le sport est une véritable école de vasodilatation, c’est-à-dire d’ouverture des vaisseaux.
Il faut savoir qu’il faudrait dépenser 500 kcal par jour pour profiter des bienfaits de l’activité physique. On est programmé pour bouger. Une étude médicale a montré que 500 kcal représentaient l’optimum des bienfaits de l’activité physique, donc il est important de bouger. »
A VOS MARQUES, PRÊT, AVANCEZ, ANTICIPEZ... 
Savez-vous pourquoi des animaux comme le chevreuil n’ont jamais de troubles cardiaques ?
Eh bien parce qu’ils fabriquent eux-mêmes de la vitamine C et n’en manquent donc jamais !
Les aliments que nous consommons sont de véritables coquilles vides sur le plan nutritionnel ! Lorsque vous mangez une pomme aujourd’hui, vous n’apportez plus que 4mg de vitamine C à votre corps…
…alors qu’il lui en faudrait au moins 400mg par jour !!
Prenez les pommes de vos grand-mères : elles contenaient cet « élément » vital en masse : 100 fois plus que celles que l’on trouve dorénavant dans nos supermarchés (oui, 100 fois plus !!)
La raison pour laquelle il y a tant de maladies cardio-vasculaires aujourd’hui est probablement que l’organisme manque de vitamine C. Linus Pauling
La vitamine C est indispensable à la synthèse du collagène et de l’élastine, les substances qui rendent les vaisseaux forts et sains. Si vous manquez de vitamine C, vous ne fabriquez pas assez de collagène, ou alors il est de mauvaise qualité.
C’est le soir à partir de 18h00 qu’il serait préférable de la prendre.
En effet, c’est à partir de cette heure que le corps entre en phase de réparation, et qu’il commence à reconstituer nos réserves d’énergie pour le lendemain, selon la médecine chinoise. Car contrairement à une croyance bien répandue, la vitamine C favorise le sommeil : l’effet énervant se produisant en début de prise et s’atténuant rapidement lorsque l’apport est suffisant. Mais, c’est bien également de répartir la prise tout au long de la journée, en gardant une dose plus importante pour le soir.
200 mg de vitamine C par jour voire 400mg sont des dosages qui sont quasi inatteignables par une alimentation même équilibrée.
Cette vitamine étant hydrosoluble, il est recommandé de boire beaucoup d’eau de qualité (Mont-Roucous, Wattwiller, Volvic…) afin de favoriser la diffusion de la vitamine C dans tout l’organisme.
Et aussi : La vitamine E, par exemple, est un antioxydant très important. Parmi les aliments les plus riches, on trouve la papaye, les graines de tournesol, les fruits à coques les céréales de son, les arachides, les avocats.
Et que dire des vitamines B6 et B9, qui diminuent nettement notre risque d’AVC ? (et dont pourtant un tiers des français sont carencés).
Sandra Ferreira